SYAPA
(système anti-paupérisme)
SYADE
(système anti-désordre)
Du peuple au peuple par le peuple dans le
peuple avec le peuple pour le peuple
L’Etat peut
développer les emplois sans qualifications tout en faisant beaucoup d’économies
et en augmentant ses rentrées
Les emplois sans qualification du secteur économique
classique sont nécessaires aux individus non formés, peu instruits, illettrés…
De tels emplois manquent cruellement.
Ces emplois, aujourd’hui mal payés, deviendraient
«vivables» grâce à l’appoint des aides fournies par le SYAPA.
Seuls les pauvres trouvent un intérêt à solliciter
l’aide du SYAPA. Aussitôt l’aide obtenue
(n’importe laquelle), la personne solliciteuse est soumise à une surtaxe dissuasive.
Pour l’exclu, qui ne verse aucun ou peu d’impôt sur
le revenu, cette surtaxe est inexistante.
Par contre, pour la personne qui paye un impôt
découlant de revenus convenables, cette surtaxe s’avère très lourde et désavantageuse.
L’application ainsi conçue de cette surtaxe vise
l’efficacité: formulaire simplifié. On évite les pertes de temps et d’argent.
Chaque exclu ayant un domicile, cela rend possible
son embauche par les employeurs du secteur commercial. En fonction de sa
conduite citoyenne, il obtient un meilleur logement, mieux situé.
Les bons comportements de l’habitant (jeune comme
adulte) d’un quartier sensible, qu’enregistrent le SYAPA et le SYADE,
favorisent son embauche par les employeurs du secteur commercial.
Le travail civique du SYAPA et du SYADE apprend ou
rapprend à l’exclu désocialisé une discipline de vie: respect des horaires,
attention soutenue, self-control…
Le budget des récompenses financières du SYADE,
indispensables à un meilleur fonctionnement de la collectivité, est
approvisionné par celui des sanctions financières. Les sommes excédentaires aux
besoins du SYADE sont conservées par le Trésor public.
Suppression du RSA et autres allocations destinées
actuellement aux exclus: beaucoup d’économies pour l’Etat.
Plus d’allocations logement à verser: beaucoup
d’économies pour l’Etat.
Aucune
allocation versée aux personnes qui ne sont pas dans le besoin: encore d’autres
économies pour
l’Etat.
L’Etat ne paye rien.
Le nombre des emplois peu rentables pour les
entreprises, dont la faible rémunération se verrait compensée par l’aide du SYAPA,
pourrait augmenter: travaux agricoles, travaux de manœuvres, coup de main aux
clients, présence sécurisante…
La France devient alors compétitive internationalement.
Les délocalisations cessent. On relocalise.
Davantage d’entreprises payent l’impôt. Moins
d’indemnités chômage à distribuer. L’Etat augmente ses rentrées.
Le déficit de la France avec l’étranger diminue.
Perspective d’une balance commerciale équilibrée.
Il
faut de l’audace pour s’engager dans la guerre. Il en faut aussi pour instaurer
l’innovation politique. Notre époque de crises durables, toujours renouvelées,
toujours plus graves, se propageant dans le monde, la disparition inéluctable
de certaines ressources du globe, exigent de l’imagination politique. Ce ne
sont pas les recettes du XXe siècle qui sauveront la France du
déclin. Notre pays doit relever les défis du XXIe siècle
avec des idées du XXIe siècle. Nos aïeux firent des
grandes choses. Ainsi furent-ils grands. Soyons comme eux. Les Français sont en
mesure de modifier leur destin et marquer l’histoire mondiale…
(Stipulations
22/02/12 à 03/03/13)
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