mardi 19 mars 2013

SYAPA et SYADE 23


SYAPA (système anti-paupérisme)
SYADE (système anti-désordre)
Du peuple au peuple par le peuple dans le peuple avec le peuple pour le peuple

L’Etat peut juguler le populisme tout en faisant beaucoup d’économies

Le populisme repose sur le chômage massif, la misère, la perte de dignité, un avenir bouché. L’humiliation personnelle se mue en fierté nationale exacerbée. L’individu blessé veut prendre sa revanche moyennant la violence collective.

Chômage: le SYAPA propose une activité rémunérée à toute personne sans travail.

Misère: grâce au SYAPA, plus aucun être humain ne peut traîner dans les rues, sans toit, sans nourriture, sans chauffage l’hiver… Quoi qu’il arrive, l’individu a l’assurance de toujours bénéficier du nécessaire pour vivre décemment.

Dignité: l’action économique du SYAPA et du SYADE, tirent d’affaire les personnes exposées à la déchéance sociale, lesquelles constituent le gros des troupes populistes. Les activités du SYAPA sont toujours utiles et valorisantes puisqu’elles consistent à supprimer la misère: mission chevaleresque.

Avenir bouché: l’individu qui fait des efforts peut gravir les échelons sociaux. A tout moment, il est en mesure d’apprendre un nouveau métier, d’acquérir de nouvelles connaissances susceptibles d’étoffer son CV.
De plus, certaines stipulations du SYADE encouragent la promotion des professionnels capables mais non diplômés. L’ascenseur social doit à nouveau fonctionner en France.

Fierté nationale exacerbée: un pays qui ose innover, qui ose faire participer la population au changement de son destin, qui ose procurer une place convenable à tous ses membres, qui ose s’attaquer vraiment aux fléaux d’un autre âge (misère, chômage, infériorisation de l’homme…) et les résoudre, qui ose faire des proposions raisonnables afin qu’advienne un futur meilleur pour tous, est un pays dont chacun peut légitimement s’enorgueillir.

Le populisme met en danger le vivre ensemble. Il occasionne d’énormes dépenses à la charge de la collectivité, provoquent des morts. Son entrave entraîne beaucoup d’économies pour l’Etat.

Il faut de l’audace pour s’engager dans la guerre. Il en faut aussi pour instaurer l’innovation politique. Notre époque de crises durables, toujours renouvelées, toujours plus graves, se propageant dans le monde, la disparition inéluctable de certaines ressources du globe, exigent de l’imagination politique. Ce ne sont pas les recettes du XXe siècle qui sauveront la France du déclin. Notre pays doit relever les défis du XXIe siècle avec des idées du XXIe siècle. Nos aïeux firent des grandes choses. Ainsi furent-ils grands. Soyons comme eux. Les Français sont en mesure de modifier leur destin et marquer l’histoire mondiale…

(Stipulations 22/02/12 à 03/03/13)

samedi 16 mars 2013

SYAPA et SYADE 22



SYAPA (système anti-paupérisme)
SYADE (système anti-désordre)
Du peuple au peuple par le peuple dans le peuple avec le peuple pour le peuple

L’Etat peut entraver l’extrémisme politique violent tout en faisant beaucoup d’économies

Dans certains lieux éloignés habitent les extrémistes politiques violents. Il s’agit de «zones sécurisantes».

Tout extrémiste politique violent doit remplir en totalité le questionnaire du SYADErelatif au fanatisme.

Etant indispensables, les fréquents contrôles de la police ne peuvent, sans arrière-pensée fourbe, faire l’objet de protestation.

Les transports en commun permettant de relier la «zone sécurisante» sont gratuits. Il s’agit de véhicules d’occasion conduits, réparés, par leurs habitants, à titre de «travail civique» équivalent d’impôt. Aucune raison d’exposer les conducteurs sans histoire aux agressions verbales ou aux agressions physiques d’asociaux.

A l’intérieur de chaque «zone sécurisante», le SYAPA entretient les logements pour exclus, procure leur nourriture, etc. Les locations payées en espèces approvisionnent le budget du «centre anti-misère» local.

Grâce au SYAPA, plus aucun être humain ne peut traîner dans les rues, sans toit, sans nourriture, sans chauffage l’hiver, en proie à la misère extrême.

Chaque exclu ayant un domicile, cela rend possible son embauche par les employeurs du secteur commercial. En fonction de sa conduite citoyenne, il obtient un meilleur logement, mieux situé.

La «zone sécurisante» ne porte pas de nom, d’indication, permettant de l’identifier. Aucune adresse postale ne peut donc être dévalorisante.

Les personnes étrangères à une «zone sécurisante», qui doivent y travailler, sont protégées par un groupe de résidants, voulant justifier leur respectabilité, dont l’activité prend la forme du «travail civique» équivalent d’impôt. Afin que ne soient pas agressés: postier, employé du gaz/électricité, médecin, dépanneur d’ascenseur, policier de proximité, employé municipal, commerçant… Même chose quand est apportée la nourriture des exclus, quand on répare leur logement, etc.

En raison des contrôles policiers constants, la «zone sécurisante» bloque les trafics illicites.

Sortir ou se trouver hors de sa «zone sécurisante» durant une période d’interdiction, pénétrer dans un espace défendu, décuple les sanctions financières inscrites dans les stipulations du SYADE, allonge fortement les durées d’annulation des lots de loterie révolutionnaire, diminue ou annule les avantages pour élèves.

La personne non résidante surprise sans autorisation dans une «zone sécurisante» subit les sanctions financières inscrites dans les stipulations du SYADE, l’annulation des lots de loterie révolutionnaire, la diminution ou l’annulation des avantages pour élèves.

Chaque badge personnel, avec puce, permet de repérer les transgressions. La personne dépourvue de son badge personnel ou portant un badge falsifié subit les sanctions financières inscrites dans les stipulations du  SYADE, l’annulation des lots de loterie révolutionnaire, la diminution ou l’annulation des avantages pour élèves.

Après un comportement correct d’une durée suffisante, accompagné de réponses adéquates au questionnaire du SYADE visant le fanatisme, l’extrémiste politique violent est autorisé à s’installer sur un territoire exempt d’assujettissement policier.

Moins besoin de patrouilles dans les quartiers normaux où règne désormais le calme, les effectifs policiers se concentrant sur les lieux à problèmes: les «zones sécurisantes». Beaucoup d’économies pour l’Etat.

Tout religieux visitant quelqu’un dans une «zone sécurisante» doit auparavant remplir en totalité le questionnaire du SYADE relatif au fanatisme. Si ses réponses déterminent des points négatifs: visite interdite.

Les extrémistes politiques violents occasionnent d’énormes dépenses à la charge de la collectivité, provoquent des morts. Leur éloignement entraîne beaucoup d’économies pour l’Etat.

Il faut de l’audace pour s’engager dans la guerre. Il en faut aussi pour instaurer l’innovation politique. Notre époque de crises durables, toujours renouvelées, toujours plus graves, se propageant dans le monde, la disparition inéluctable de certaines ressources du globe, exigent de l’imagination politique. Ce ne sont pas les recettes du XXe siècle qui sauveront la France du déclin. Notre pays doit relever les défis du XXIe siècle avec des idées du XXIe siècle. Nos aïeux firent des grandes choses. Ainsi furent-ils grands. Soyons comme eux. Les Français sont en mesure de modifier leur destin et marquer l’histoire mondiale…

(Stipulations 22/02/12 à 03/03/13)

vendredi 15 mars 2013

SYAPA et SYADE 21


SYAPA (système anti-paupérisme)
SYADE (système anti-désordre)
Du peuple au peuple par le peuple dans le peuple avec le peuple pour le peuple

L’Etat peut entraver le communautarisme tout en faisant beaucoup d’économies

Le communautarisme décompose l’union nationale.

Dans certains lieux éloignés habitent les étrangers et les descendants d’étranger non assimilés. Il s’agit de «zones sécurisantes». Y résident les personnes qui, se conformant à des coutumes exotique, aux mœurs de pays arriérés, à des coutumes religieuses moyenâgeuses, s’opposent au vivre ensemble du pays d’accueil, à la démocratie.

Dans ces «zones sécurisantes», se trouvent aussi les immigrants non autorisé (on ne bafoue pas impunément la souveraineté française ou européenne).

Les individus qui se connaissent sont répartis dans des «zones sécurisantes» éloignées, différentes. Chacune devant être préservée, par dispersion, de tout communautarisme: ethnique, religieux.

Toute personne se déclarant religieuse, toute personne d’aspect ostensiblement confessionnel, doit remplir en totalité le questionnaire du SYADE relatif au fanatisme.

Etant indispensables, les fréquents contrôles de la police ne peuvent, sans arrière-pensée fourbe, faire l’objet de protestation.

Les transports en commun permettant de relier la «zone sécurisante» sont gratuits. Il s’agit de véhicules d’occasion conduits, réparés, par leurs habitants, à titre de «travail civique» équivalent d’impôt. Aucune raison d’exposer les conducteurs sans histoire aux agressions verbales ou aux agressions physiques d’asociaux.

A l’intérieur de chaque «zone sécurisante», le SYAPA entretient les logements pour exclus, procure leur nourriture, etc. Les locations payées en espèces approvisionnent le budget du «centre anti-misère» local.

Grâce au SYAPA, plus aucun être humain ne peut traîner dans les rues, sans toit, sans nourriture, sans chauffage l’hiver, en proie à la misère extrême.

Chaque exclu ayant un domicile, cela rend possible son embauche par les employeurs du secteur commercial. En fonction de sa conduite citoyenne, il obtient un meilleur logement, mieux situé.

La «zone sécurisante» ne porte pas de nom, d’indication, permettant de l’identifier. Aucune adresse postale ne peut donc être dévalorisante.

Les personnes étrangères à une «zone sécurisante», qui doivent y travailler, sont protégées par un groupe de résidants, voulant justifier leur respectabilité, dont l’activité prend la forme du «travail civique» équivalent d’impôt. Afin que ne soient pas agressés: postier, employé du gaz/électricité, médecin, dépanneur d’ascenseur, policier de proximité, employé municipal, commerçant… Même chose quand est apportée la nourriture des exclus, quand on répare leur logement, etc.

En raison des contrôles policiers constants, la «zone sécurisante» bloque les trafics illicites.

Sortir ou se trouver hors de sa «zone sécurisante» durant une période d’interdiction, pénétrer dans un espace défendu, décuple les sanctions financières inscrites dans les stipulations du SYADE, allonge fortement les durées d’annulation des lots de loterie révolutionnaire, diminue ou annule les avantages pour élèves.

La personne non résidante surprise sans autorisation dans une «zone sécurisante» subit les sanctions financières inscrites dans les stipulations du SYADE, l’annulation des lots de loterie révolutionnaire, la diminution ou l’annulation des avantages pour élèves.

Chaque badge personnel, avec puce, permet de repérer les transgressions. La personne dépourvue de son badge personnel ou portant un badge falsifié subit les sanctions financières inscrites dans les stipulations du  SYADE, l’annulation des lots de loterie révolutionnaire, la diminution ou l’annulation des avantages pour élèves.

Après un comportement correct d’une durée suffisante, accompagné de réponses adéquates au questionnaire du SYADE visant le fanatisme, la personne d’origine étrangère, prouvant ainsi son assimilation, est autorisée à s’installer sur un territoire exempt d’assujettissement policier.

Moins besoin de patrouilles dans les quartiers non dissidents où règne désormais le calme, les effectifs policiers se concentrant sur les lieux à problèmes: les «zones sécurisantes». Beaucoup d’économies pour l’Etat.

Tout religieux visitant quelqu’un dans une «zone sécurisante» doit auparavant remplir en totalité le questionnaire du SYADE relatif au fanatisme. Si ses réponses déterminent des points négatifs: visite interdite.

Les religions extrémistes et violentes, les communautarismes, les rébellions démantèlent le vivre ensemble, occasionnent d’énormes dépenses à la charge de la collectivité, provoquent des morts. Leur bannissement, leur disparition entraînent beaucoup d’économies pour l’Etat.

Il faut de l’audace pour s’engager dans la guerre. Il en faut aussi pour instaurer l’innovation politique. Notre époque de crises durables, toujours renouvelées, toujours plus graves, se propageant dans le monde, la disparition inéluctable de certaines ressources du globe, exigent de l’imagination politique. Ce ne sont pas les recettes du XXe siècle qui sauveront la France du déclin. Notre pays doit relever les défis du XXIe siècle avec des idées du XXIe siècle. Nos aïeux firent des grandes choses. Ainsi furent-ils grands. Soyons comme eux. Les Français sont en mesure de modifier leur destin et marquer l’histoire mondiale…

(Stipulations 22/02/12 à 03/03/13)

mercredi 13 mars 2013

SYAPA et SYADE 20


SYAPA (système anti-paupérisme)
SYADE (système anti-désordre)
Du peuple au peuple par le peuple dans le peuple avec le peuple pour le peuple

L’Etat peut désengorger les hôpitaux psychiatriques tout en faisant beaucoup d’économies

Leurs voies de communication étant constamment surveillées, certaines «zones sécurisantes» peuvent désencombrer les établissements psychiatriques. Elles accueillent les patients peu atteints, opportunistes, qui laissent ainsi leur place, à l’hôpital, aux cas dangereux. Ces «zones sécurisantes» accueillent aussi les malades mentaux impécunieux, les malades mentaux qui refusent d’être soigné, qui interrompent leur traitement sans autorisation…

Etant indispensables, les fréquents contrôles de la police ne peuvent, sans arrière-pensée fourbe, faire l’objet de protestation.

Les transports en commun permettant de relier la «zone sécurisante» sont gratuits. Il s’agit de véhicules d’occasion conduits, réparés, par leurs habitants, à titre de «travail civique» équivalent d’impôt. Aucune raison d’exposer les conducteurs sans histoire aux agressions verbales ou aux agressions physiques d’asociaux.

A l’intérieur de chaque «zone sécurisante», le SYAPA entretient les logements pour exclus, procure leur nourriture, etc. Les locations payées en espèces approvisionnent le budget du «centre anti-misère» local.

Grâce à de telles «zones sécurisantes» et au SYAPA, plus aucun malade mental ne peut traîner dans les rues, sans toit, sans nourriture, sans chauffage l’hiver, en proie à la misère extrême.

Chaque exclu ayant un domicile, cela rend possible son embauche par les employeurs du secteur commercial. En fonction de sa conduite citoyenne, il obtient un meilleur logement, mieux situé.

La «zone sécurisante» ne porte pas de nom, d’indication, permettant de l’identifier. Aucune adresse postale ne peut donc être dévalorisante.

Les personnes étrangères à une «zone sécurisante», qui doivent y travailler, sont protégées par un groupe de résidants, voulant démontrer leur pondération, dont l’activité prend la forme du «travail civique» équivalent d’impôt. Afin que ne soient pas agressés: postier, employé du gaz/électricité, médecin, dépanneur d’ascenseur, policier de proximité, employé municipal, commerçant… Même chose quand est apportée la nourriture des exclus, quand on répare leur logement, etc.

En raison des contrôles policiers constants, la «zone sécurisante» bloque les trafics illicites.

Sortir ou se trouver hors de sa «zone sécurisante» durant une période d’interdiction, pénétrer dans un espace défendu, décuple les sanctions financières du SYADE, allonge fortement les durées d’annulation des lots de loterie révolutionnaire, diminue ou annule les avantages pour élèves.

La personne non résidante surprise sans autorisation dans une «zone sécurisante» subit les sanctions financières inscrites dans les stipulations du SYADE, l’annulation des lots de loterie révolutionnaire, la diminution ou l’annulation des avantages pour élèves.

Chaque badge personnel, avec puce, permet de repérer les transgressions. La personne dépourvue de son badge personnel ou portant un badge falsifié subit les sanctions financières inscrites dans les stipulations du SYADE, l’annulation des lots de loterie révolutionnaire, la diminution ou l’annulation des avantages pour élèves.

Après un comportement correct d’une durée suffisante, le malade mental rétabli est autorisé à s’installer sur le territoire exempt d’assujettissement policier.
Durant sa période de mise à l'écart, s’il a un travail qui relève du secteur commercial, son salaire sera moindre par rapport à l’usage. Moyen de pression pour l’inciter à quitter – réglementairement – cet endroit au plus vite. Dès lors, son employeur doit le payer normalement.

Moins besoin de patrouilles dans les quartiers normaux où règne désormais le calme, les effectifs policiers se concentrant sur les lieux à problèmes: les «zones sécurisantes». Beaucoup d’économies pour l’Etat.

Diminution des frais d’hospitalisation. Beaucoup d’économies pour l’Etat.

Il faut de l’audace pour s’engager dans la guerre. Il en faut aussi pour instaurer l’innovation politique. Notre époque de crises durables, toujours renouvelées, toujours plus graves, se propageant dans le monde, la disparition inéluctable de certaines ressources du globe, exigent de l’imagination politique. Ce ne sont pas les recettes du XXe siècle qui sauveront la France du déclin. Notre pays doit relever les défis du XXIe siècle avec des idées du XXIe siècle. Nos aïeux firent des grandes choses. Ainsi furent-ils grands. Soyons comme eux. Les Français sont en mesure de modifier leur destin et marquer l’histoire mondiale…

(Stipulations 22/02/12 à 03/03/13)

mardi 12 mars 2013

SYAPA et SYADE 19


SYAPA (système anti-paupérisme)
SYADE (système anti-désordre)
Du peuple au peuple par le peuple dans le peuple avec le peuple pour le peuple

L’Etat peut désengorger les prisons tout en faisant beaucoup d’économies

Leurs voies de communication étant constamment surveillées, certaines «zones sécurisantes» peuvent désencombrer les prisons. Exemple: toxicomanes non violents, certains chauffards, mineurs multirécidivistes...

Auxquels s’ajoutent: alcoolique ayant le vin mauvais, mari ou compagnon brutal, fan obsessionnel, délinquant, pédophile, voleur, caïd de quartier, dealer, membre de gang, individu solitaire et impécunieux à sa sortie de prison, individu ayant employé directement ou indirectement la menace, individu ayant exercé directement ou indirectement des représailles, individu ayant exercé la violence, etc.

Les individus qui se connaissent, complices, sont répartis dans des «zones sécurisantes» éloignées, différentes.
Chaque «zone sécurisante» est préservée, par dispersion, de tout communautarisme: ethnique, religieux…

Etant indispensables, les fréquents contrôles de la police ne peuvent, sans arrière-pensée fourbe, faire l’objet de protestation.

Les transports en commun permettant de relier la «zone sécurisante» sont gratuits. Il s’agit de véhicules d’occasion conduits, réparés, par leurs habitants, à titre de «travail civique» équivalent d’impôt. Aucune raison d’exposer les conducteurs sans histoire aux agressions verbales ou aux agressions physiques d’asociaux.

A l’intérieur de chaque «zone sécurisante», le SYAPA entretient les logements pour exclus, procure leur nourriture, etc. Les locations payées en espèces approvisionnent le budget du «centre anti-misère» local.

Grâce au SYAPA, plus aucun être humain ne peut traîner dans les rues, sans toit, sans nourriture, sans chauffage l’hiver, en proie à la misère extrême.

Chaque exclu ayant un domicile, cela rend possible son embauche par les employeurs du secteur commercial. En fonction de sa conduite citoyenne, il obtient un meilleur logement, mieux situé.

La «zone sécurisante» ne porte pas de nom, d’indication, permettant de l’identifier. Aucune adresse postale ne peut donc être dévalorisante.

Les personnes étrangères à une «zone sécurisante», qui doivent y travailler, sont protégées par un groupe de résidants, voulant justifier leur respectabilité, dont l’activité prend la forme du «travail civique» équivalent d’impôt. Afin que ne soient pas agressés: postier, employé du gaz/électricité, médecin, dépanneur d’ascenseur, policier de proximité, employé municipal, commerçant… Même chose quand est apportée la nourriture des exclus, quand on répare leur logement, etc.

En raison des contrôles policiers constants, la «zone sécurisante» bloque les trafics illicites.

Sortir ou se trouver hors de sa «zone sécurisante» durant une période d’interdiction, pénétrer dans un espace défendu, décuple les sanctions financières inscrites dans les stipulations du SYADE, allonge fortement les durées d’annulation des lots de loterie révolutionnaire, diminue ou annule les avantages pour élèves.

La personne non résidante surprise sans autorisation dans une «zone sécurisante» subit les sanctions financières inscrites dans les stipulations du «SYADE, l’annulation des lots de loterie révolutionnaire, la diminution ou l’annulation des avantages pour élèves.

Chaque badge personnel, avec puce, permet de repérer les transgressions. La personne dépourvue de son badge personnel ou portant un badge falsifié subit les sanctions financières inscrites dans les stipulations du  SYADE, l’annulation des lots de loterie révolutionnaire, la diminution ou l’annulation des avantages pour élèves.

Promiscuité carcérale, en particulier entre jeune délinquant et malfaiteur endurci, non infligée. On prévient ainsi le renforcement criminel, la récidive, qui coûtent cher à la collectivité: beaucoup d’économies pour l’Etat.

Après un comportement correct d’une durée suffisante, l’habitant d’une «zone sécurisante» est autorisé à s’installer sur un territoire exempt d’assujettissement policier, hormis: pédophile, mari ou compagnon brutal et pathologiquement vindicatif, fan obsessionnel…

Durant sa période de mise à l'écart, s’il a un travail qui relève du secteur commercial, son salaire sera moindre par rapport à l’usage. Moyen de pression pour l’inciter à quitter – réglementairement – cet endroit au plus vite. Dès lors, son employeur doit le payer normalement.

Tout religieux visitant quelqu’un dans une «zone sécurisante» doit auparavant remplir en totalité le questionnaire du SYADE relatif au fanatisme. Si ses réponses déterminent des points négatifs: visite interdite. Les religions extrémistes, les communautarismes, les rébellions coûtent cher à la collectivité: beaucoup d’économies pour l’Etat.

Moins besoin de patrouilles dans les quartiers normaux où règne désormais le calme, les effectifs policiers se concentrant sur les lieux à problèmes: les «zones sécurisantes». Beaucoup d’économies pour l’Etat.

Cesse la surpopulation dans les prisons. L’incarcération de chaque détenu coûte cher: beaucoup d’économies pour l’Etat.

Il faut de l’audace pour s’engager dans la guerre. Il en faut aussi pour instaurer l’innovation politique. Notre époque de crises durables, toujours renouvelées, toujours plus graves, se propageant dans le monde, la disparition inéluctable de certaines ressources du globe, exigent de l’imagination politique. Ce ne sont pas les recettes du XXe siècle qui sauveront la France du déclin. Notre pays doit relever les défis du XXIe siècle avec des idées du XXIe siècle. Nos aïeux firent des grandes choses. Ainsi furent-ils grands. Soyons comme eux. Les Français sont en mesure de modifier leur destin et marquer l’histoire mondiale…

(Stipulations 22/02/12 à 03/03/13)

lundi 11 mars 2013

SYAPA et SYADE 18


SYAPA (système anti-paupérisme)
SYADE (système anti-désordre)
Du peuple au peuple par le peuple dans le peuple avec le peuple pour le peuple

L’Etat peut mieux surveiller les délinquants tout en faisant beaucoup d’économies

Dans certains lieux éloignés habitent les ex-SDF causant des insociabilités. Il s’agit de «zones sécurisantes». Y sont aussi envoyés les perturbateurs de quartiers, les élèves obstinément réfractaires à la discipline (avec leurs parents si nécessaire)…

Les transports en commun permettant de relier ces zones sont gratuits. Il s’agit de véhicules d’occasion conduits, réparés, par leurs habitants, à titre de «travail civique» équivalent d’impôt. Aucune raison d’exposer les conducteurs sans histoire aux agressions verbales ou aux agressions physiques d’asociaux.

Etant indispensables, les fréquents contrôles de la police ne peuvent, sans arrière-pensée fourbe, faire l’objet de protestation.

A l’intérieur de chaque «zone sécurisante», le SYAPA entretient les logements pour exclus, procure leur nourriture, etc. Les locations payées en espèces approvisionnent le budget du «centre anti-misère» local.

Grâce au SYAPA, plus aucun être humain ne peut traîner dans les rues, sans toit, sans nourriture, sans chauffage l’hiver, en proie à la misère extrême.

Chaque exclu ayant un domicile, cela rend possible son embauche par les employeurs du secteur commercial. En fonction de sa conduite citoyenne, il obtient un meilleur logement, mieux situé.

La «zone sécurisante» ne porte pas de nom, d’indication, permettant de l’identifier. Aucune adresse postale ne peut donc être dévalorisante.

En raison des contrôles policiers constants, la «zone sécurisante» bloque les trafics illicites.

Sortir ou se trouver hors de sa «zone sécurisante» durant une période d’interdiction, pénétrer dans un espace défendu, décuple les sanctions financières inscrites dans les stipulations du «système anti-désordre», allonge fortement les durées d’annulation des lots de loterie révolutionnaire, diminue ou annule les avantages pour élèves.

La personne non résidante surprise sans autorisation dans une «zone sécurisante» subit les sanctions financières inscrites dans les stipulations du SYADE, l’annulation des lots de loterie révolutionnaire, la diminution ou l’annulation des avantages pour élèves.

Chaque badge personnel, avec puce, permet de repérer les transgressions. La personne dépourvue de son badge personnel ou portant un badge falsifié subit les sanctions financières inscrites dans les stipulations du SYADE, l’annulation des lots de loterie révolutionnaire, la diminution ou l’annulation des avantages pour élèves.

Après un comportement correct d’une durée suffisante, l’habitant d’une «zone sécurisante» est autorisé à s’installer sur un territoire exempt d’assujettissement policier.
Durant sa période de mise à l'écart, s’il a un travail qui relève du secteur commercial, son salaire sera moindre par rapport à l’usage. Moyen de pression pour l’inciter à quitter – réglementairement – cet endroit au plus vite. Dès lors, son employeur doit le payer normalement.

Tout religieux visitant quelqu’un dans une «zone sécurisante» doit auparavant remplir en totalité le questionnaire du SYADE relatif au fanatisme. Si ses réponses déterminent des points négatifs: visite interdite. Les religions extrémistes, les communautarismes, les rébellions coûtent cher à la collectivité: beaucoup d’économies pour l’Etat.

Moins besoin de patrouilles dans les quartiers normaux où règne désormais le calme, les effectifs policiers se concentrant sur les lieux à problèmes: les «zones sécurisantes». Beaucoup d’économies pour l’Etat.

Les conséquences de l’insociabilité sont payées par la collectivité. Leur diminution signifie beaucoup d’économies pour l’Etat.

Il faut de l’audace pour s’engager dans la guerre. Il en faut aussi pour instaurer l’innovation politique. Notre époque de crises durables, toujours renouvelées, toujours plus graves, se propageant dans le monde, la disparition inéluctable de certaines ressources du globe, exigent de l’imagination politique. Ce ne sont pas les recettes du XXe siècle qui sauveront la France du déclin. Notre pays doit relever les défis du XXIe siècle avec des idées du XXIe siècle. Nos aïeux firent des grandes choses. Ainsi furent-ils grands. Soyons comme eux. Les Français sont en mesure de modifier leur destin et marquer l’histoire mondiale…

(Stipulations 22/02/12 à 03/03/13)

dimanche 10 mars 2013

SYAPA et SYADE 17


SYAPA (système anti-paupérisme)
SYADE (système anti-désordre)
Du peuple au peuple par le peuple dans le peuple avec le peuple pour le peuple

L’Etat peut occuper la jeunesse tout en faisant beaucoup d’économies et en augmentant ses rentrées

A partir du moment où les jeunes perçoivent très tôt des avantages pécuniaires (lots des loteries révolutionnaires, récompenses et compléments financiers, «argent de poche mutualisé», «biens culturels»), ils s’acquittent très tôt d’une imposition.

Le SYADE, en association avec le SYAPA, propose à tous les jeunes un «travail civique». Si le jeune ne l’accomplit pas (c’est sa contribution fiscale), il ne perçoit aucun avantage pécuniaire.

Le «travail civique» pour les jeunes est une sorte de scoutisme laïque. On leur apprend nombre de notions nécessaires à la vie du bon citoyen: cours de rattrapage scolaire pour les enfants d’exclus, instruction civique par le biais de certaines stipulations du SYADE, histoire, géographie, démocratie, régime républicain, laïcité, faits religieux (monothéisme, polythéisme, animisme, chamanisme…), etc. On leur apprend les rudiments de différentes professions. On les prépare à une existence indépendante: comment coudre et raccommoder (2 sexes), repasser le linge, cuisiner, faire du bricolage domestique, entretenir et réparer un véhicule, jardiner, etc.

Le travail civique proposé par le SYAPA et le SYADE apprend ou rapprend au jeune désocialisé une discipline de vie: respect des horaires, attention soutenue, self-control…

La jeunesse dès lors «occupée» a moins de temps pour s’approprier les halls d’immeuble, traîner dans les rues, faire des «bêtises»…

Le seuil de l’âge du «travail civique» des jeunes est déterminé par les représentants du peuple.

L’activité des «centres anti-désordre» prend la forme de «travail civique» équivalent d’impôt.

Les connaissances professionnelles acquises grâce au travail civique du SYAPA et celles additionnelles acquises grâce au SYADE augmentent les possibilités d’embauche du jeune dans le secteur commercial.

Les bons comportements du jeune d’un quartier sensible, qu’enregistrent le SYAPA et le SYADE, favorisent son embauche par les employeurs du secteur commercial.

Pour les élèves parvenus en fin de longues études qui ne trouvent pas d’emploi, le travail civique du SYAPA et du SYADE permet d’acquérir une solide expérience de gestion administrative et de direction du personnel d’organisation importante. Compétences recherchées par les employeurs du secteur commercial.

Le budget des récompenses financières du SYADE, indispensables à un meilleur fonctionnement de la collectivité, est approvisionné par celui des sanctions financières. Les sommes excédentaires aux besoins du SYADE sont conservées par le Trésor public.

L’Etat ne paye rien. Sa seule participation est d’ordre fiscal: transmettre l’imposition distincte vers les «centres anti-désordre». Cette modique part fiscale «anti-désordre» n’est pas un retranchement. Elle remplace les grandes dépenses de l’Etat destinées à lutter contre l’insociabilité, aux piètres résultats.

Les conséquences de l’insociabilité sont payées par la collectivité. Leur diminution signifie beaucoup d’économies pour l’Etat.

Davantage d’entreprises payent l’impôt. Moins d’indemnités chômage à distribuer. L’Etat augmente ses rentrées.
Le déficit de la France avec l’étranger diminue. Perspective d’une balance commerciale équilibrée.

Il faut de l’audace pour s’engager dans la guerre. Il en faut aussi pour instaurer l’innovation politique. Notre époque de crises durables, toujours renouvelées, toujours plus graves, se propageant dans le monde, la disparition inéluctable de certaines ressources du globe, exigent de l’imagination politique. Ce ne sont pas les recettes du XXe siècle qui sauveront la France du déclin. Notre pays doit relever les défis du XXIe siècle avec des idées du XXIe siècle. Nos aïeux firent des grandes choses. Ainsi furent-ils grands. Soyons comme eux. Les Français sont en mesure de modifier leur destin et marquer l’histoire mondiale…

(Stipulations 22/02/12 à 03/03/13)

samedi 9 mars 2013

SYAPA et SYADE 16


SYAPA (système anti-paupérisme)
SYADE (système anti-désordre)
Du peuple au peuple par le peuple dans le peuple avec le peuple pour le peuple

L’Etat peut raccourcir la durée de chaque insociabilité tout en faisant beaucoup d’économies

La sanction financière inscrite dans une stipulation du SYADE ne se compare pas à une amende. Il s’agit d’une somme payée périodiquement (ou d’une absence d’allocation), qui se prolonge tant que le fautif n’arrête pas son mauvais comportement.
Cette méthode dissuasive comprend aussi l’annulation de chaque lot des «loteries révolutionnaires». Pour les élèves: perte simultanée de certains «biens culturels» gratuits et diminution, jusqu’à disparition, de l’«argent de poche mutualisé».

Exemples: récidiviste, malade mental qui refuse de se soigner, malade contagieux qui interrompt son traitement, individu qui gêne l’entourage, entreprise qui pollue, etc.

Avec ce système de fiscalité équitablement personnalisée, ceux qui pénalisent l’économie du pays, perturbent ses habitants, réparent à leurs frais les dégâts.

L’activité des «centres anti-désordre» prend la forme de «travail civique» équivalent d’impôt.

Le budget des récompenses financières du SYADE, indispensables à un meilleur fonctionnement de la collectivité, est approvisionné par celui des sanctions financières. Les sommes excédentaires aux besoins du SYADE sont conservées par le Trésor public.

L’Etat ne paye rien. Sa seule participation est d’ordre fiscal: transmettre l’imposition distincte vers les «centres anti-désordre». Cette modique part fiscale «anti-désordre» n’est pas un retranchement. Elle remplace les grandes dépenses de l’Etat destinées à lutter contre l’insociabilité, aux piètres résultats.

Les conséquences de l’insociabilité sont payées par la collectivité. Leur diminution signifie beaucoup d’économies pour l’Etat.

Il faut de l’audace pour s’engager dans la guerre. Il en faut aussi pour instaurer l’innovation politique. Notre époque de crises durables, toujours renouvelées, toujours plus graves, se propageant dans le monde, la disparition inéluctable de certaines ressources du globe, exigent de l’imagination politique. Ce ne sont pas les recettes du XXe siècle qui sauveront la France du déclin. Notre pays doit relever les défis du XXIe siècle avec des idées du XXIe siècle. Nos aïeux firent des grandes choses. Ainsi furent-ils grands. Soyons comme eux. Les Français sont en mesure de modifier leur destin et marquer l’histoire mondiale…

(Stipulations 22/02/12 à 03/03/13)

vendredi 8 mars 2013

SYAPA et SYADE 15


SYAPA (système anti-paupérisme)
SYADE (système anti-désordre)
Du peuple au peuple par le peuple dans le peuple avec le peuple pour le peuple

L’Etat peut apaiser les tensions sociales tout en faisant beaucoup d’économies

Pour un problème donné, au lieu de mécontenter l’ensemble d’une profession, l’ensemble des entreprises d’un secteur commercial, l’ensemble d’une strate de la population.., grâce aux stipulations du SYADE, l’Etat vise seulement les acteurs qui s’opposent au vivre ensemble, les entreprises qui portent atteinte au bien commun.

Devant l’opinion publique, les forces égoïstes perdent ainsi leur légitimité. L’Etat peut alors trancher, assuré du soutien d’une majorité de la population.

Avec ce système de fiscalité équitablement personnalisée, ceux qui pénalisent l’économie du pays, perturbent ses habitants, réparent à leurs frais les dégâts.

L’activité des «centres anti-désordre» prend la forme de «travail civique» équivalent d’impôt.

Le budget des récompenses financières du SYADE, indispensables à un meilleur fonctionnement de la collectivité, est approvisionné par celui des sanctions financières. Les sommes excédentaires aux besoins du SYADE sont conservées par le Trésor public.

L’Etat ne paye rien. Sa seule participation est d’ordre fiscal: transmettre l’imposition distincte vers les «centres anti-désordre». Cette modique part fiscale «anti-désordre» n’est pas un retranchement. Elle remplace les grandes dépenses de l’Etat destinées à lutter contre l’insociabilité, aux piètres résultats.

Les conséquences de l’insociabilité sont payées par la collectivité. Leur diminution signifie beaucoup d’économies pour l’Etat.

Il faut de l’audace pour s’engager dans la guerre. Il en faut aussi pour instaurer l’innovation politique. Notre époque de crises durables, toujours renouvelées, toujours plus graves, se propageant dans le monde, la disparition inéluctable de certaines ressources du globe, exigent de l’imagination politique. Ce ne sont pas les recettes du XXe siècle qui sauveront la France du déclin. Notre pays doit relever les défis du XXIe siècle avec des idées du XXIe siècle. Nos aïeux firent des grandes choses. Ainsi furent-ils grands. Soyons comme eux. Les Français sont en mesure de modifier leur destin et marquer l’histoire mondiale…

(Stipulations 22/02/12 à 03/03/13)

jeudi 7 mars 2013

SYAPA et SYADE 14


SYAPA (système anti-paupérisme)
SYADE (système anti-désordre)
Du peuple au peuple par le peuple dans le peuple avec le peuple pour le peuple

Pression directe de l’Etat pour éliminer l’insociabilité tout en faisant beaucoup d’économies

Dans le cas d’un désordre nécessitant une décision urgente, à la place des représentants du peuple, les valeurs des stipulations du SYADE sont déterminées par la direction de l’Etat.

La direction de l’Etat tranche. Elle indique le montant des récompenses et des sanctions financières (attribution de points positifs ou négatifs). Elle règle les conditions d’annulation de chaque lot des «loteries révolutionnaires». Pour les élèves: perte simultanée de certains «biens culturels» gratuits et diminution, jusqu’à disparition, de l’«argent de poche mutualisé». Durée des annulations.

Avec ce système de fiscalité équitablement personnalisée, ceux qui pénalisent l’économie du pays, perturbent ses habitants, réparent à leurs frais les dégâts.

L’activité des «centres anti-désordre» prend la forme de «travail civique» équivalent d’impôt.

Le budget des récompenses financières du SYADE, indispensables à un meilleur fonctionnement de la collectivité, est approvisionné par celui des sanctions financières. Les sommes excédentaires aux besoins du SYADE sont conservées par le Trésor public.

L’Etat ne paye rien. Sa seule participation est d’ordre fiscal: transmettre l’imposition distincte vers les «centres anti-désordre». Cette modique part fiscale «anti-désordre» n’est pas un retranchement. Elle remplace les grandes dépenses de l’Etat destinées à lutter contre l’insociabilité, aux piètres résultats.

Les conséquences de l’insociabilité sont payées par la collectivité. Leur diminution signifie beaucoup d’économies pour l’Etat.

Il faut de l’audace pour s’engager dans la guerre. Il en faut aussi pour instaurer l’innovation politique. Notre époque de crises durables, toujours renouvelées, toujours plus graves, se propageant dans le monde, la disparition inéluctable de certaines ressources du globe, exigent de l’imagination politique. Ce ne sont pas les recettes du XXe siècle qui sauveront la France du déclin. Notre pays doit relever les défis du XXIe siècle avec des idées du XXIe siècle. Nos aïeux firent des grandes choses. Ainsi furent-ils grands. Soyons comme eux. Les Français sont en mesure de modifier leur destin et marquer l’histoire mondiale…

(Stipulations 22/02/12 à 03/03/13)

mercredi 6 mars 2013

SYAPA et SYADE 13


SYAPA (système anti-paupérisme)
SYADE (système anti-désordre)
Du peuple au peuple par le peuple dans le peuple avec le peuple pour le peuple

Pression indirecte de l’Etat pour éliminer l’insociabilité tout en faisant beaucoup d’économies

Les valeurs des stipulations du SYADE, que les individus respectent s’ils veulent gagner les lots des «loteries révolutionnaires» et bénéficier d’autres avantages pécuniaires, sont déterminées par les représentants du peuple.
Leurs délibérations portent sur le montant des récompenses et des sanctions financières (attribution de points positifs ou négatifs). Ils prescrivent les conditions d’annulation de chaque lot des «loteries révolutionnaires». Pour les élèves: perte simultanée de certains «biens culturels» gratuits et diminution, jusqu’à disparition, de l’«argent de poche mutualisé». Durée des annulations.

Avec ce système de fiscalité équitablement personnalisée, ceux qui pénalisent l’économie du pays, perturbent ses habitants, réparent à leurs frais les dégâts.

L’activité des «centres anti-désordre» prend la forme de «travail civique» équivalent d’impôt.

Le budget des récompenses financières du SYADE, indispensables à un meilleur fonctionnement de la collectivité, est approvisionné par celui des sanctions financières. Les sommes excédentaires aux besoins du SYADE sont conservées par le Trésor public.

L’Etat ne paye rien. Sa seule participation est d’ordre fiscal: transmettre l’imposition distincte vers les «centres anti-désordre». Cette modique part fiscale «anti-désordre» n’est pas un retranchement. Elle remplace les grandes dépenses de l’Etat destinées à lutter contre l’insociabilité, aux piètres résultats.

Les conséquences de l’insociabilité sont payées par la collectivité. Leur diminution signifie beaucoup d’économies pour l’Etat.

Il faut de l’audace pour s’engager dans la guerre. Il en faut aussi pour instaurer l’innovation politique. Notre époque de crises durables, toujours renouvelées, toujours plus graves, se propageant dans le monde, la disparition inéluctable de certaines ressources du globe, exigent de l’imagination politique. Ce ne sont pas les recettes du XXe siècle qui sauveront la France du déclin. Notre pays doit relever les défis du XXIe siècle avec des idées du XXIe siècle. Nos aïeux firent des grandes choses. Ainsi furent-ils grands. Soyons comme eux. Les Français sont en mesure de modifier leur destin et marquer l’histoire mondiale…

(Stipulations 22/02/12 à 03/03/13)

mardi 5 mars 2013

SYAPA et SYADE 12



SYAPA (système anti-paupérisme)
SYADE (système anti-désordre)
Du peuple au peuple par le peuple dans le peuple avec le peuple pour le peuple

L’Etat peut abaisser la délinquance tout en faisant beaucoup d’économies

La majorité des individus, y compris les jeunes, y compris les enfants, craignant de laisser échapper les lots des «loteries révolutionnaires», surtout le gros lot, surveillent constamment leur conduite, de façon à ne pas enfreindre les stipulations du SYADE.
Dissuasion à laquelle s’ajoute, pour les élèves: perte simultanée de certains «biens culturels» gratuits et diminution ou suppression de l’«argent de poche mutualisé».

Le rôle des policiers, des juges, est toujours actif. Dès la première incartade et à chaque récidive, les multiples sanctions financières s’appliquent.

Avec ce système de fiscalité équitablement personnalisée, ceux qui pénalisent l’économie du pays, perturbent ses habitants, réparent à leurs frais les dégâts.

L’activité des SYADE prend la forme de «travail civique» équivalent d’impôt.

Le budget des récompenses financières du SYADE, indispensables à un meilleur fonctionnement de la collectivité, est approvisionné par celui des sanctions financières. Les sommes excédentaires aux besoins du SYADE sont conservées par le Trésor public.

L’Etat ne paye rien. Sa seule participation est d’ordre fiscal: transmettre l’imposition distincte vers les «centres anti-désordre». Cette modique part fiscale «anti-désordre» n’est pas un retranchement. Elle remplace les grandes dépenses de l’Etat destinées à lutter contre l’insociabilité, aux piètres résultats.

Les conséquences des actes délinquants sont payées par la collectivité. Leur diminution signifie beaucoup d’économies pour l’Etat.

Il faut de l’audace pour s’engager dans la guerre. Il en faut aussi pour instaurer l’innovation politique. Notre époque de crises durables, toujours renouvelées, toujours plus graves, se propageant dans le monde, la disparition inéluctable de certaines ressources du globe, exigent de l’imagination politique. Ce ne sont pas les recettes du XXe siècle qui sauveront la France du déclin. Notre pays doit relever les défis du XXIe siècle avec des idées du XXIe siècle. Nos aïeux firent des grandes choses. Ainsi furent-ils grands. Soyons comme eux. Les Français sont en mesure de modifier leur destin et marquer l’histoire mondiale…

(Stipulations 22/02/12 à 03/03/13)

lundi 4 mars 2013

SYAPA et SYADE 11



SYAPA (système anti-paupérisme)
SYADE (système anti-désordre)
Du peuple au peuple par le peuple dans le peuple avec le peuple pour le peuple

L’Etat peut stimuler l’essor scientifique et technologique tout en faisant beaucoup d’économies et en augmentant ses rentrées

Les entreprises ont constamment besoin d’innover afin de ne pas être supplantées par la concurrence.

Le SYADE comprend nombre de stipulations qui encouragent les entreprises dans ce sens. Mais aussi les élèves, les personnes capables…

L’activité des «centres anti-désordre» prend la forme de «travail civique» équivalent d’impôt.

Le budget des récompenses financières du SYADE, indispensables à un meilleur fonctionnement de la collectivité, est approvisionné par celui des sanctions financières. Les sommes excédentaires aux besoins du SYADE sont conservées par le Trésor public.

L’Etat ne paye rien. Sa seule participation est d’ordre fiscal: transmettre l’imposition distincte vers les «centres anti-désordre». Cette modique part fiscale «anti-désordre» n’est pas un retranchement. Elle remplace les grandes dépenses de l’Etat destinées à lutter contre l’insociabilité, aux piètres résultats.

Nos entreprises sont davantage performantes, compétitives. Elles s’agrandissent et recrutent. Moins d’indemnités chômage à distribuer. L’Etat augmente ses rentrées.
Le déficit de la France avec l’étranger diminue. Perspective d’une balance commerciale équilibrée.

Il faut de l’audace pour s’engager dans la guerre. Il en faut aussi pour instaurer l’innovation politique. Notre époque de crises durables, toujours renouvelées, toujours plus graves, se propageant dans le monde, la disparition inéluctable de certaines ressources du globe, exigent de l’imagination politique. Ce ne sont pas les recettes du XXe siècle qui sauveront la France du déclin. Notre pays doit relever les défis du XXIe siècle avec des idées du XXIe siècle. Nos aïeux firent des grandes choses. Ainsi furent-ils grands. Soyons comme eux. Les Français sont en mesure de modifier leur destin et marquer l’histoire mondiale…

(Stipulations 22/02/12 à 03/03/13)

dimanche 3 mars 2013

SYAPA et SYADE 10



SYAPA (système anti-paupérisme)
SYADE (système anti-désordre)
Du peuple au peuple par le peuple dans le peuple avec le peuple pour le peuple

L’Etat peut employer les surplus agricoles tout en faisant beaucoup d’économies et en augmentant ses rentrées

Actuellement les surplus agricoles vont à la décharge ou ne sont pas ramassés. Dans le SYAPA, ils deviennent un équivalent d’impôt.

Quand c’est possible, leur collecte est faite directement par des individus participant au SYAPA.

Outre l’enlèvement des produits en surplus, au calibrage exigé par la distribution, sont récoltés les fruits et légumes jugés invendables, pourtant en bon état: trop petits, trop gros, pas jolis, non présentables…

Le budget des récompenses financières du SYADE, indispensables à un meilleur fonctionnement de la collectivité, est approvisionné par celui des sanctions financières. Les sommes excédentaires aux besoins du SYADE sont conservées par le Trésor public.

Les exclus nourris correctement évitent nombre de problème médicaux: économies pour l’Etat.

L’Etat ne paye rien.
Le nombre des emplois peu rentables pour les entreprises, dont la faible rémunération se verrait compensée par l’aide du SYAPA, pourrait augmenter dans l’agriculture. La France devient alors compétitive.
Les entreprises agricoles payent davantage d’impôt. Moins d’indemnités chômage à distribuer. L’Etat augmente ses rentrées.

Il faut de l’audace pour s’engager dans la guerre. Il en faut aussi pour instaurer l’innovation politique. Notre époque de crises durables, toujours renouvelées, toujours plus graves, se propageant dans le monde, la disparition inéluctable de certaines ressources du globe, exigent de l’imagination politique. Ce ne sont pas les recettes du XXe siècle qui sauveront la France du déclin. Notre pays doit relever les défis du XXIe siècle avec des idées du XXIe siècle. Nos aïeux firent des grandes choses. Ainsi furent-ils grands. Soyons comme eux. Les Français sont en mesure de modifier leur destin et marquer l’histoire mondiale…

(Stipulations 22/02/12 à 03/03/13)

samedi 2 mars 2013

SYAPA et SYADE 9



SYAPA (système anti-paupérisme)
SYADE (système anti-désordre)
Du peuple au peuple par le peuple dans le peuple avec le peuple pour le peuple

L’Etat peut diffuser l’instruction civique tout en faisant beaucoup d’économies

Les multiples stipulations du SYADE guident l’individu dans le sens du vivre ensemble. Les respecter, c’est être un bon citoyen.

Nombre de ces stipulations sont vite apprises quand en dépend une récompense ou une sanction financière.

Selon l’âge des élèves, le professeur pourra commenter les stipulations de son choix, concrétisant ainsi certains aspects théoriques de l’instruction civique.

Diverses stipulations, malaisément applicables (peu importe!), ont avant tout pour vocation d’éduquer les jeunes. Mais aussi les adultes.

L’Etat ne paye rien. Sa seule participation est d’ordre fiscal: transmettre l’imposition distincte vers les «centres anti-désordre». Cette modique part fiscale «anti-désordre» n’est pas un retranchement. Elle remplace les grandes dépenses de l’Etat destinées à lutter contre l’insociabilité, aux piètres résultats.

Le contrôle de la bonne citoyenneté des gagnants aux «loteries révolutionnaires» prend la forme de «travail civique» équivalent d’impôt du SYADE.

Le budget des récompenses financières du SYADE, indispensables à un meilleur fonctionnement de la collectivité, est approvisionné par celui des sanctions financières. Les sommes excédentaires aux besoins du SYADE sont conservées par le Trésor public.

Puisque les stipulations du SYADE (comparables à une matérialisation de l’instruction civique) font diminuer les actes répréhensibles, dont les séquelles sont toujours payées par la collectivité, cela entraîne beaucoup d’économies pour l’Etat.

Il faut de l’audace pour s’engager dans la guerre. Il en faut aussi pour instaurer l’innovation politique. Notre époque de crises durables, toujours renouvelées, toujours plus graves, se propageant dans le monde, la disparition inéluctable de certaines ressources du globe, exigent de l’imagination politique. Ce ne sont pas les recettes du XXe siècle qui sauveront la France du déclin. Notre pays doit relever les défis du XXIe siècle avec des idées du XXIe siècle. Nos aïeux firent des grandes choses. Ainsi furent-ils grands. Soyons comme eux. Les Français sont en mesure de modifier leur destin et marquer l’histoire mondiale…

(Stipulations 22/02/12 à 03/03/13)

vendredi 1 mars 2013

SYAPA et SYADE 8



SYAPA (système anti-paupérisme)
SYADE (système anti-désordre)
Du peuple au peuple par le peuple dans le peuple avec le peuple pour le peuple

L’Etat rétablit l’autorité des professeurs tout en faisant beaucoup d’économies

Afin que tous les professeurs aient de l’autorité, il leur faut des moyens de pression sur les élèves d’aujourd’hui. S’ajoutant à l’annulation de chaque lot des «loteries révolutionnaires», la sanction pécuniaire réduit ou supprime «l’argent de poche mutualisé». A chaque récidive, le professeur inscrit de nouveaux points négatifs, de sorte que la sanction pécuniaire, pour l’élève récalcitrant, augmente.

Au moyen de sondages, on calcule le montant moyen que les parents donnent régulièrement à leurs enfants sous forme d’argent de poche. Fiscalement, on retire cette somme aux contribuables, somme à laquelle s’ajoute un surcroît en prévision des enfants d’exclus. Après quoi, la distribution égale de l’argent de poche à l’ensemble des élèves se fait par l’entremise de l’Administration, comme une allocation.

Observons que la suppression de «l’argent de poche mutualisé» d’un jeune exclu ne le prive en rien, lui et sa famille ayant toujours de quoi vivre décemment, grâce aux fournitures indispensables du SYAPA. Avec seulement l’assistance en nature, l’exclu n’a pas besoin d’argent pour subsister. Mais qui le refuse?

Accompagnant l’«argent de poche mutualisé», toujours pour encourager la bonne conduite, les élèves non réprimandés bénéficient de «biens culturels».
Financement des «biens culturels»: pour payer l’impôt SYAPA et l’impôt SYADE, certaines entreprises peuvent fournir une fraction de leur production aux élèves, enfants d’exclus ou non. Exemple: livres, disques, jeux, places de spectacle…

L’Etat ne paye rien. Sa seule participation est d’ordre fiscal: transmettre l’imposition distincte vers les «centres anti-désordre». Cette modique part fiscale «anti-désordre» n’est pas un retranchement. Elle remplace les grandes dépenses de l’Etat destinées à lutter contre l’insociabilité, aux piètres résultats.

Le contrôle de la bonne citoyenneté des gagnants prend la forme de «travail civique» équivalent d’impôt du SYADE.

L’élève obstinément réfractaire à la discipline est envoyé (avec ses parents si nécessaire) dans une «zone sécurisante» où son éducation est assurée par le SYAPA et le SYADE.

Le budget des récompenses financières du SYADE, indispensables à un meilleur fonctionnement de la collectivité, est approvisionné par celui des sanctions financières. Les sommes excédentaires aux besoins du SYADE sont conservées par le Trésor public.

Plus besoin d’augmenter le nombre de surveillants: économies pour l’Etat.
Les enseignants cessent d’être tourmentés par les élèves insupportables. La violence se dissipe. Les temps d’indisponibilité pour raison médicale se tarissent: autres économies pour l’Etat.

Il faut de l’audace pour s’engager dans la guerre. Il en faut aussi pour instaurer l’innovation politique. Notre époque de crises durables, toujours renouvelées, toujours plus graves, se propageant dans le monde, la disparition inéluctable de certaines ressources du globe, exigent de l’imagination politique. Ce ne sont pas les recettes du XXe siècle qui sauveront la France du déclin. Notre pays doit relever les défis du XXIe siècle avec des idées du XXIe siècle. Nos aïeux firent des grandes choses. Ainsi furent-ils grands. Soyons comme eux. Les Français sont en mesure de modifier leur destin et marquer l’histoire mondiale…

(Stipulations 22/02/12 à 03/03/13)