lundi 19 mai 2014

SYAPA 128

Une collectivité qui abandonne les personnes démentes à la rue est une collectivité malade. Une collectivité qui subit, le jour, divers dérèglements sociétaux. La nuit, c’est pire. Des désordres qui pourrissent la vie de l’honnête homme.
L’homme nanti devrait pourtant comprendre qu’une grande partie de sa tranquillité d’esprit repose sur le calme d’esprit de ceux qui, aux alentours, l’ont dérangé.

Fonctionnement du «système anti-paupérisme».
Disparition de l’épouvante d’être jeté à la rue, qui rend fou.
Plus de déments rejetés dans la rue pour impécuniosité.

Certains exclus déments non dangereux, qui sont en prison faute de place dans les hôpitaux psychiatriques, ont accès à des refuges spécialisés où se trouve le nécessaire pour vivre.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire