Une collectivité qui abandonne les personnes
démentes à la rue est une collectivité malade. Une collectivité qui subit, le
jour, divers dérèglements sociétaux. La nuit, c’est pire. Des désordres qui
pourrissent la vie de l’honnête homme.
L’homme nanti devrait pourtant comprendre qu’une grande
partie de sa tranquillité d’esprit repose sur le calme d’esprit de ceux qui,
aux alentours, l’ont dérangé.
Fonctionnement
du «système anti-paupérisme».
Disparition de l’épouvante d’être jeté à la rue, qui
rend fou.
Plus de déments rejetés dans la rue pour
impécuniosité.
Certains exclus déments non dangereux, qui sont en
prison faute de place dans les hôpitaux psychiatriques, ont accès à des refuges
spécialisés où se trouve le nécessaire pour vivre.
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